Ici issu du célèbre producteur Philippe Colin, Le Chevalier Montrachet Grand Cru fait partie des 7 grands Crus blancs de Bourgogne. Millésimé 2008, il offre opulence, gras et complexité à la hauteur d'un des plus beaux vins de Bourgogne, dans la catégorie des meilleurs vins blancs du monde ! Quantités (évidemment) limitées !
Chevalier Montrachet Grand Cru 2008
Complexe
Puissant
Minéral
Fruité
Boisé
Le Chevalier Montrachet est un des 7 Grands Crus Blancs de Bourgogne et fait partie des 5 grands crus de la famille des Montrachet.
Situé au sud de la côte de Beaune, à Puligny-Montrachet, l'appellation représente 7.50 hectares.
ici un Chevalier Montrachet Grand Cru du réputé producteur Philippe Colin.
Seuls les plus grands vins peuvent provoquer ce type d'émotions intenses lors de leur ouverture. ici, le plaisir commence avec le visuel : la robe sera or avec des reflets émeraude, le bouquet offrira un bouquet extrêmement complexe qui ira des notes de pâtisseries chaude, de fruits secs, jusqu'aux épices en passant par le miel.
Vin très harmonieux à l'équilibre parfait, qui offrira une puissance, une structure, une rondeur et une persistance incroyables.
Appellation
Grand CruType de vin
TranquilleVinification
Fûts de ChêneCépage(s)
ChardonnayVendanges
ManuellesRégion viticole
Côte de Beaune - BourgogneMillésime
2008Service
12 à 14°
Caractères des vins
Si des nuances apparaissent au sein des différents Climats, des traits leur sont communs. Sous une robe or à reflets émeraude, jaunissant avec l’âge, le bouquet de vin blanc suggère le beurre et le croissant chaud, la fougère, les fruits secs, les épices et le miel. On ne distingue plus le corps et le bouquet, tant structure et harmonie se fondent en une unité parfaite.
Onctueux et ferme, sec et caressant, enveloppé et profond, il possède toutes les grâces sous un caractère inflexible.
Conseil du sommelier
Blanc : la puissance et la persistance aromatique de ces seigneurs imposent des mets nobles, sophistiqués et de texture complexe. De la belle cuisine en somme. Le foie gras en pâté, bien sûr, mais aussi le caviar. Le homard, la langouste, les grosses crevettes sauvages, puissantes en saveur et fermes, voire croquantes sous la dent, lui rendront un hommage mérité
et équilibreront son opulence. Les poissons blancs fermes, comme la lotte, seront également à la fête. Mais on n’oubliera pas non plus les poules et poulardes de belle lignée, élevées en plein air, dont la finesse de chair sera délicatement enrobée par la texture onctueuse et noble du Montrachet.
Avec une sauce crémée aux champignons, ce ne sera que mieux, même sur une pièce de veau poêlée ou en sauce, que l’acidité longue et subtile du Montrachet soulignera avec une grande classe.
Température de service : 12 à 14 °C.
Situation
Les villages de Puligny-Montrachet et de Chassagne-Montrachet ont en partage le Montrachet et le Bâtard-Montrachet. Chevalier sur Puligny ainsi que Bienvenues, Criots sur Chassagne. Ce sont les Grands Crus les plus méridionaux de la Côte-d’Or, entre Meursault (au nord) et Santenay (au sud).
Apparu au Moyen-Âge, oeuvre initiale de l’abbaye cistercienne de Maizières et des seigneurs de Chagny, le Montrachet (prononcé Mon-Rachet) prend tout son éclat au XVIIème siècle. Nul ne le conteste : ce que le Chardonnay fait de mieux sur la Terre ! Le Montrachet est aussi une famille réunissant 4 Grands Crus proches : Chevalier-Montrachet, Bâtard-Montrachet, Bienvenues-Bâtard-Montrachet et Criots-Bâtard-Montrachet (AOC Grands Crus du 31 juillet 1937).
Terroirs
Géologie du jurassique (175 millions d’années). Exposition au levant et au midi entre 265 et 290 mètres d’altitude (Chevalier), entre 250 et 270 mètres (Montrachet), entre 240 et 250 mètres (Bâtard, Bienvenues, Criots). En Montrachet, des sols peu épais sur un calcaire dur, traversés par une bande de marne rougeâtre. En Chevalier, des sols minces et pierreux : rendzines légères formées sur des marnes et calcaires marneux. En Bâtard, des sols bruns calcaires plus épais et plus argileux du côté du piémont.
Source : BIVB
